Stop la violence !


- Des situations engageantes et proches du quotidien des jeunes
- Un outil simple à prendre en main qui répond aux besoins de terrain
- Une pédagogie active pour donner aux jeunes les moyens d’agir
LE PITCH


Au coeur d’un établissement, les ados mènent l’enquête. Témoins d’une situation de harcèlement : discrimination, rumeur, racket, partage de contenus intimes, homophobie, sexisme, ils vont tour à tour interroger témoins, harceleurs et victimes pour décrypter les mécanismes du harcèlement et comprendre comment ils peuvent concrètement agir pour l’arrêter.

L’empathie au cœur de notre démarche pédagogique

Créé avec des experts pour la communauté éducative

45-90 minutes
L’outil plébiscité par le Ministère de l’Éducation Nationale
Testé et approuvé par la communauté éducative
Déjà plus d’1 million d’adolescents sensibilisés
Avec Stop la violence ! Nous avons pu aborder des enjeux pas évidents avec ma classe de 4ᵉ et désamorcer une situation complexe de harcèlement. Les élèves ont bien compris qu’ils pouvaient tous agir pour stopper une situation de harcèlement.
M. D.
Professeur documentaliste
Nous avons intégré Stop la violence ! dans notre projet d’établissement de sensibilisation et de lutte contre le harcèlement. Cet outil interactif a particulièrement plu à nos élèves qui se sont sentis investis dans leur mission d’enquêteur.
F.R.
Proviseure


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Qui sommes-nous ?

TRALALERE, créateur d’expériences numériques innovantes, est une entreprise à impact social, reconnue parmi les réseaux éducatifs comme l’un des principaux acteurs EdTech en France. L’équipe est composée de 30 passionnés d’éducation, de la conception pédagogique à la production numérique & audiovisuelle en passant par la diffusion.

Les actualités
Comment parler de sextorsion avec les jeunes ? Essayez la plateforme Payboy !
En France, plus de 12 000 cas de sextorsion ont été signalés en 2023, principalement pour obtenir de l’argent. Ce phénomène consiste à se lier d’amitié en ligne avec une victime afin de gagner sa confiance et la pousser à envoyer des images intimes. Ces images servent ensuite à la menacer : les agresseurs exigent de l’argent, d’autres photos ou des faveurs à caractère sexuel.
La sextorsion se déroule souvent via les messageries des réseaux sociaux ou les chats de jeux vidéo. Très subtile, cette manipulation plonge la victime dans la honte et la culpabilité, l’empêchant souvent de demander de l’aide.
Pour sensibiliser les jeunes et les parents, la fondation belge Child Focus a lancé Payboy : une campagne qui détourne les codes du magazine érotique Playboy pour expliquer comment reconnaître, prévenir et affronter la (cyber)sextorsion.
Harcèlement et cyberharcèlement : des chiffres en hausse
En seulement un an, le pourcentage des jeunes touchés par le harcèlement est passé de 24% à 35%. C’est ce que révèle le dernier baromètre sur le harcèlement et le cyberharcèlement, réalisé par la Caisse D’Épargne et l’association e-Enfance / 3018.
- 71 % des cas de harcèlement ont lieu au sein de l’établissement scolaire, mais ils se poursuivent en ligne même après l’école. En effet, les réseaux sociaux et l’IA sont très présents dans le quotidien des enfants :
- 65% des -11 ans sont sur les réseaux sociaux
- 15% des enfants cyberharcelés en primaire.
- 41% des enfants cyberharcelés sur WhatsApp, souvent dans des groupes de classe (25%), prolongeant les tensions scolaires dans la sphère numérique.
Cela a des conséquences très lourdes sur la santé mentale des jeunes victimes : 25 % d’entre elles ont déjà pensé à se faire du mal ou au suicide, chiffre qui monte à 39 % chez les jeunes filles.
